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Accueil CONSTRUCTION DURABLE

[Dossier Formation] #15 – L’expérience pour mieux construire

01/04/2021
dans CONSTRUCTION DURABLE, DOSSIERS
10 minutes de lecture
[Dossier Formation] #15 – L’expérience pour mieux construire
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La formation aux métiers de la construction évolue en raison de  la mutation de la place des apprenants dans l’élaboration des projets pédagogiques. Les apprenants ne sont plus de simples spectateurs mais clairement les acteurs principaux pour ne pas dire les metteurs en scène de leur formation. Ils doivent combiner les approches techniques nouvelles avec celles plus personnelles liées, par exemple, à leur perception du développement durable ou à leur appétence du digital. Le projet d’apprentissage doit répondre en parallèle aux attentes de la profession, et aussi aux besoins plus larges de la construction dans son environnement. Bienvenue dans le monde du co-développement ! Soit l’appropriation et la mise en œuvre par le système pédagogique de méthodes et techniques innovantes, et ce pour former des professionnels capables de s’adapter à l’évolution de leur milieu.

Évolution de la formation ou former à l’évolution ?

Intégrer les évolutions des méthodes d’apprentissage dans le monde de la construction n’est plus une option. L’étape  des questions est derrière nous. Traditionnellement, la formation et l’enseignement des sciences et techniques de la construction se faisaient de façon verticale, descendante et surtout en silos. Le “sachant” exposait son savoir à des “apprenants” qui devaient l’assimiler, le restituer pour être évalués  puis diplômés. 

Le développement de l’apprentissage par alternance, y compris jusqu’au niveau du diplôme d’ingénieur, a démontré que l’expérience en entreprise pouvait se substituer en partie  à la formation en école. Une partie des savoirs et des savoirs-faire est déléguée aux périodes en entreprise. L’apprenti se forme par les exemples qu’il rencontre au gré des chantiers et des échanges avec ses collègues. Première démonstration que la formation descendante peut parfois être  complétée et remplacée par l’expérience de l’apprenant mis en situation. 

Dans le même esprit, le développement de la VAE[1] confirme cette tendance, sur une échelle de temps plus large. La VAE permet en effet de valoriser en compétences les expériences acquises au fil de la carrière et autorise une autre voie d’accès à la diplomation que le système classique.La démocratisation des outils digitaux et leur intégration dans la vie quotidienne ont fondamentalement  modifié l’approche de la pédagogie descendante. Que ce soit pour l’apprenant ou le formateur, les règles et les méthodes appliquées dans  l’échange de savoirs ont récemment muté. C’est assurément l’une des évolutions majeures dans l’approche de former. 

La notion classique de  “transmission des savoirs, des compétences et des savoirs-faire” est remise en cause. L’acte de former n’est plus unidirectionnel,  et cela représente un réel  défi. Durant une séance, les apprenants recherchent  directement des informations sur Internet à partir des éléments du cours, complétant, voire vérifiant parfois les enseignements de leur professeur. A domicile, en asynchrone, ils se forment sur les matières enseignées comme sur d’autres sujets, ce qui leur permet d’acquérir des savoirs qui dépassent le domaine enseigné, et qui peut toucher un tout autre domaine. Ce dernier point est important, car il est source de nouvelles idées transposables  d’un champ à l’autre, décontextualiser le savoir est source d’ouverture et d’innovation. 

Co-construire une nouvelle approche basée sur le  binôme formateur/formé.

L’absence de carcans, l’envie d’apprendre pour mieux se former facilitent  la montée en compétences et en autonomie. En effet, il s’agit bien ici d’autonomie dans ces nouvelles approches. La prise de risques mais aussi les satisfactions personnelles qui en découlent  permettent de ne plus se laisser “porter”, ni “bercer” par l’enseignant. Ce passage requiert une énergie plus importante, une mise en danger réciproque pour sortir des sentiers battus mais favorise-t-il un apprentissage auto stimulé et  plus profond ?

À partir de ce constat, il convient de repenser les activités et les mises en situation associées, pour favoriser l’autonomie de l’apprenant dans son appréhension des savoirs, des savoir-faire et des compétences. Elles doivent se construire pour mettre l’apprenant en position de développer ses propres compétences et d’acquérir son savoir-faire professionnel. Il concatène son bagage personnel. En schématisant, il apporte autant qu’il reçoit. Autre nouveauté et particularité de l’époque, ce schéma doit favoriser l’adaptation de l’apprenant aux changements qu’il rencontrera dans un milieu professionnel très évolutif. En effet, la majorité des métiers de demain n’existe pas aujourd’hui !

Les apprenants doivent imaginer leurs projets depuis les phases de conception jusqu’aux phases d’exploitation/maintenance. L’outil de modélisation permet de tester, de se mettre en situation et de faire évoluer le projet dans le temps. Le prototype virtuel, ou jumeau numérique, devient le meilleur outil d’apprentissage. L’apprenant se construit dans un écosystème transdisciplinaire, multi-acteurs et évolutif. Il ne doit pas être formé à “faire” du BIM, mais formé en BIM. La formation au processus s’adapte alors bien aux personnes et au projet et non l’inverse.

Sur cette base, que proposer ?

Le duo apprenant/formateur se crée via un partage de responsabilités. L’apprenant met à disposition son approche et ses acquis avec un formateur qui les intègre activement  dans son processus de formation. Ce nouvel apprentissage rend les évaluations classiques par questions de cours et exercices d’application inadaptées et obsolètes.  Dans l’apprentissage descendant, ceux-ci représentaient le moyen de vérifier que l’étudiant avait compris et intégré les notions enseignées. Mais le fait que l’apprenant sache faire tel exercice en fera-t-il forcément un bon professionnel ? De plus, avec le temps et la quantité de savoirs à disposition, l’évanescence n’est-elle pas d’ores et déjà programmée ? Ne doit-on pas plutôt considérer la capacité de l’apprenant à contextualiser une problématique, puis sa capacité à développer une stratégie pour la résoudre. Ce savoir-faire ne s’érodera sans doute pas avec le temps. L’apprenant développera sa propre réponse en fonction de sa personnalité, de ses points forts et de ses points faibles.

Le digital et la facilité d’accès à l’information permettent aujourd’hui de développer et d’appréhender une autre forme d’apprentissage. Par exemple, le formateur peut s’appuyer sur l’approche de type “Serious Game” en écrivant  assez rapidement un scénario évolutif et en temps réel, d’un jeu personnalisé. L’apprenant entre dans un jeu (ou “je”) dont il est le “Héros”. Prenons l’exemple d’un stagiaire bercé dans sa jeunesse par le jeu SIM CITY[2], et qui rentre dans une formation d’urbanisme. Ce jeu est sûrement à la fois l’origine de son orientation, son centre d’intérêt, mais assurément sa première expérience “professionnelle” dans l’aménagement de l’espace urbain. L’enjeu de la formation est donc de transformer ses mythes en réalité. 

Le co-développement du projet

Le formateur, l’équipe pédagogique et l’apprenant sont dans une relation de  co-construction de  l’environnement d’apprentissage ; ils font ainsi partie d’un même écosystème dont l’objectif est la montée en compétence à la fois de manière collective et  individuelle. C’est un apprentissage dirigé, comparable à celui mis en place dans le “Machine Learning”, basé sur l’échange entre l’apprenant et le formateur. Cette étape correspond au passage du cours classique à la pédagogie dite en “mode projet”, majoritairement utilisée dans les formations à la construction.
L’objectif se fixe conjointement pour converger vers un résultat attendu. L’équipe pédagogique définit un scénario  transdisciplinaire, contextualisé pour y dérouler un référentiel d’activités lui-même basé sur un référentiel de compétences. La série de mises en situation permet d’évaluer les compétences acquises collectivement et individuellement par les apprenants. Dans le cadre d’un parcours en formation continue, cette approche est comparable à une situation d’AFEST[3].

 L’intervenant gère les apports en mode projet, ce qui implique la distillation des savoirs en fonction des besoins des apprenants et la personnalisation dans les champs nouveaux. Le changement de posture est total  : pas de cours complet suivi d’une mise en application allant du général au plus précis, mais une application mobilisant des questions qui conduisent à la recherche de connaissances et de savoir-faire, par des réponses ciblées (du précis au général). On renverse l’entonnoir… Cette approche comporte des avantages et quelques revers. D’une part, l’apprenant est plus investi, et voit ses compétences augmentées à plus long terme que lors d’un apprentissage descendant. Cependant, l’approche est très chronophage et met l’apprenant comme le formateur dans des situations nouvelles délicates à maîtriser. En outre, l’apprenant peut se sentir perdu et ne pas savoir quelle direction prendre. Il ne peut plus s’appuyer sur des schémas connus comme dans le cas des exercices d’application. Enfin, le formateur ne maîtrise pas forcément le contenu et peut se retrouver face à une situation dont il ne connaît pas immédiatement les réponses.


L’apprenant doit être capable de produire une synthèse, mais est-ce forcément plus simple pour lui ?

À titre d’exemple, l’ESITC Paris met ses apprenants de dernière année en situation de concepteur, constructeur d’un projet global et réel. Des équipes mixtes associant étudiants initiaux et en apprentissage sont obligatoirement constituées.  Ils sont mis en situation d’imaginer, concrétiser, tester et valider des solutions ou des méthodes innovantes. Les apprenants en filière “bâtiment” travaillent sur la réhabilitation d’un existant auquel s’ajoute un module de construction neuve traitant à la fois des parties gros-œuvre et tous corps d’états. Les apprenants en filière “Routes et Ouvrages d’Art” travaillent sur un projet englobant un tracé routier (y compris les impacts des terrassements et de la VRD[4]), un pont (en conception et réalisation) avec différentes variantes, un ouvrage routier (échangeur, giratoire, ou autre aménagement). Le projet doit tenir compte des besoins en signalisations et éclairages pour avoir la vision en exploitation du projet.

Ces projets, réalisés en équipe de 3 à 4 personnes, s’étendent sur un semestre. Ils sont présentés sous forme d’un volet par matière, devant un jury composé de l’ensemble des enseignants et d’un représentant de la direction.  À chaque étape, que ce soit pour le projet Bâtiment ou Travaux Publics, les apprenants prennent en compte le développement durable et le cycle de vie du projet tout en intégrant les enjeux énergétiques et climatiques. Les retours des apprenants sont plutôt positifs, même s’ils notent des difficultés d’adaptation par rapport à des schémas d’apprentissage classiques.

“Expliquer une notion” est une situation d’apprentissage éprouvée et qui, aujourd’hui, grâce au digital, permet de toucher un plus grand nombre d’acteurs, mais aussi d’apprenants. En effet, les formateurs font travailler les apprenants en inversant ce concept d’explication en leur demandant de développer des capsules pédagogiques sur les notions à acquérir. Pour présenter ces nouvelles notions, l’apprenant devra les maîtriser, certainement de manière plus sûre, plus autonome et approfondie que lors d’un enseignement descendant. Par ailleurs, ses capsules peuvent être mises à disposition des autres apprenants et représenter une source pédagogique pour acquérir des connaissances complémentaires aux cours et manuels. De plus, entre pairs, l’approche sera peut-être plus adaptée car leur sensibilité, leur approche et leurs prérequis seront similaires.

Conclusion

Selon ces différentes approches, l’apport du digital sur l’apprentissage est indéniable, même s’il ne constitue pas le seul moyen de former. En effet, notre capacité à apprendre et les moyens d’y parvenir ne sont pas les mêmes en fonction des individus. Ainsi, par rapport à une forme d’enseignement descendant, cette approche demandera certainement un effort plus important aux apprenants ayant surtout des aptitudes de mémorisation. En revanche, il se révèlera certainement tout à fait adapté à ceux ayant besoin de sens pour acquérir la connaissance. Ce mode d’apprentissage semble aussi très chronophage et le temps réservé à la formation pourrait se révéler insuffisant … En conclusion, le digital s’avère être un outil supplémentaire et plein de ressources, adapté aux attentes et aux modes d’apprentissages des apprenants d’aujourd’hui, mais son usage vient nécessairement en complément d’autres approches.

Article signé Emmanuel Natchitz Directeur du Développement chez ESITC PARIS, 
et Sabrina Perlo, directrice Recherche-Enseignement

 

[1] VAE : Validation des Acquis de l’Expérience.

[2] Sim City 4

[3] AFEST: Action de Formation En Situation de Travail.

[4] VRD : Voirie, Réseaux Divers

Article publié sur Construction21 France
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