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Accueil CONSTRUCTION DURABLE

[Dossier Formation] #22 – « Sans la formation, on ne peut pas prendre de risque »

13/02/2021
dans CONSTRUCTION DURABLE, DOSSIERS
8 minutes de lecture
[Dossier Formation] #22 – « Sans la formation, on ne peut pas prendre de risque »
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Au cours des derniers mois, Cyril Trétout, le nouveau président d’ANMA, a engagé un dialogue avec François Bottollier-Depois, PDG de la Fabrique des Territoires Innovants (FTI) et d’#InventerDemain, autour de la question de la formation à la co-conception, l’intelligence collective et l’innovation ouverte dans les projets urbains. Ce dialogue s’est structuré autour du constat d’une double mutation.  Entretien croisé entre les dirigeants d’ANMA et de la Fabrique des Territoires Innovants.  

Faire de la conception urbaine l’affaire de tous

Une lame de fond fait de la conception l’affaire de tous et place de nouveaux acteurs dans le décor : les usagers. 

Les usagers, ces grands oubliés des projets architecturaux et urbains, jusqu’à ce que se fassent remarquer certaines initiatives du côté de l’urbanisme temporaire et transitoire. En quelques années, toutes les métropoles de France ont voulu avoir « leurs » Grands Voisins, sans encore bien comprendre de quoi il s’agissait : une volonté de pouvoir. De pouvoir d’expression, de pouvoir d’action. Mais pourquoi cela fonctionne-t-il parfois et comment reproduire ce qui semble partir d’une étincelle « magique » ? Et quel futur pour cette tendance à co-concevoir des projets de ville ?

Un monde plus rapide

A côté de cette évolution douce et profonde, le monde « s’accélère ». Mais qu’est-ce que cela veut dire ? Exigences des consommateurs, défis environnementaux, mouvements citoyens, aspirations professionnelles des nouvelles générations : même combat. Les organisations privées et publiques courent derrière une société et un marché en perpétuelle mutation qu’elles n’arrivent guère à rattraper. 

Vers une fabrique « ouverte » de la ville  

Ces deux transformations sont un défi inédit pour celles et ceux qui font la ville. Une des clefs pour y répondre passe par les compétences, et pas n’importe lesquelles. Les soft skills, ces compétences, dites « douces », à cultiver en plus des savoir-faire techniques et des apprentissages théoriques classiques appris lors de nos études. Les compétences de demain récemment plébiscitées par « The Future of Jobs Report » du World Economic Forum sont par exemple : la capacité d’innovation, l’apprentissage actif, la créativité, la prise d’initiative, l’intelligence émotionnelle, l’idéation, la capacité d’influence sociale. Bien différentes des représentations classiques du monde du travail.  

A la FTI, on est persuadé d’une chose : s’il y a trente ans, on apprenait un métier technique dans ses moindres détails, aujourd’hui on « apprend à apprendre ». Ce sont des structures d’apprentissages totalement différentes. Les soft skills s’apprennent eux aussi, tant en formation continue que sur les bancs de l’école. C’est fondamental, car il ne faut pas croire que l’on en serait doué ou non. Soft skills et hard skills, les deux sont nécessaires et supposent la capacité à travailler en transversalité. Ça ne va pas de soi, mais heureusement, cela s’organise dans les agences, les entreprises et de plus en plus chez les promoteurs immobiliers. 

Etre en lien avec les usages du bâtiment

Cyril Trétout, lui, trouve les 25 dernières années assez révolutionnaires dans l’exercice de la fabrique de la ville. Il considère aujourd’hui son métier comme bien plus intéressant dans ses outils et ses pratiques que lorsqu’il a débuté sa carrière. « Quand je suis entré dans ce métier, j’avais vingt-trois ans et j’ai découvert mon premier ordi. Beaucoup de choses ont changé alors, et l’exploit technique a remplacé petit à petit la forme architecturale, dans les années 90 ».  C’était le début de ce qui est devenu la révolution numérique, entraînant avec elle d’autres révolutions, comme celle du rapport à l’autre dans le travail d’architecte urbaniste, le rapport à l’usager. C’est une évolution essentielle, c’est le sens que l’on trouve aujourd’hui dans le rôle du maître d’usages, qui propose dans le projet une lecture des fonctions et usages différente de celle du technicien ou du politique. L’architecte doit apprendre à s’y adapter. La conviction de Cyril Trétout est qu’aujourd’hui, être architecte n’est plus une affaire de créativité et d’inspiration solitaires. Il faut intégrer des contributions différentes et extérieures. 

Un changement de paradigme

Ce sont peut-être les échecs de certains programmes qui ont accéléré le changement. Si les causes ne sont pas certaines, la transformation du modèle est en tout cas bel et bien en route. Ainsi, les professionnels de la construction expriment parfois un certain sentiment d’urgence à apprendre ces nouvelles compétences, celles du travail collaboratif. Jusqu’ici, le travail du promoteur immobilier consistait, entre autres, à connaître son marché. Mais aujourd’hui il semble difficile de dire que le promoteur maîtrise la connaissance des besoins des habitants : des besoins variés, changeants, modulables, et pas toujours conformes aux usages réels. 

La révolution numérique ne suffit pas

La révolution numérique est un atout dans la diffusion et l’ouverture de la parole : la parole habitante par exemple, et donc de la démocratie. Cyril Trétout explique : « notre métier est très politique. Nous sommes parties-prenantes de la fabrique de la ville, de la forme des lieux, nous avons une capacité à être entendus par le politique. Et avec cela, c’est toute une nouvelle génération qui s’imagine qu’on ne peut plus faire ce travail en chambre, entre experts. On le voit chez ANMA par exemple avec les générations qui arrivent aujourd’hui et ne veulent qu’une chose : participer ». La révolution du numérique ne suffirait-elle donc pas ? Pour Cyril Trétout, elle n’intègre pas la complexité du monde. La machine n’a pas la faculté sensible d’ouverture, d’être « open », il lui manque une dimension de création qui n’est pas celle « qu’on fait dans son coin, mais avec les autres, cette capacité à apprendre et à faire avec les autres ». 

L’intelligence artificielle ? Utile, oui, si elle est couplée au triptyque « intelligences émotionnelle, relationnelle et analytique » cher à François Bottollier-Depois : une clé pour réussir les projets complexes et incertains, activer un projet urbain qui voie ses chances d’aboutir.

Un monde plus open

« Open », comme dans « open innovation » : un des chevaux de bataille de François Bottollier-Depois : « le numérique permet plus de réactions partagées, de participation des publics, d’horizontalité. Avec l’avènement de l’impression 3D, y compris en béton, on peut se demander si l’on aura encore besoin d’un architecte demain. Je crois que oui, justement au travers de la maîtrise d’usage du bâtiment. Demain, l’architecte et l’urbaniste devront permettre de mettre un crayon dans les mains de chacun ». D’après le PDG de la FTI, l’expertise sera toujours nécessaire pour mettre en capacité de le faire les gens qui ont envie de participer. 

Contribuer, participer, co-concevoir

On constate donc une évolution sur les questions de contribution à la création. Dans les opérations urbaines, il devient essentiel d’intégrer cette volonté de co-création dès le départ des projets, en alignant tous les acteurs dans le sens de cette pensée ouverte et participative, cette approche open. 

Pour réunir intelligences émotionnelle, relationnelle et analytique, il faut faire participer des gens différents. « Arriver à mobiliser ces compétences collaboratives, à mettre en œuvre une stratégie avec la participation de tous, cela suppose une lente acculturation des acteurs qui n’y voient pas d’intérêt direct, à court terme. Il faut montrer que c’est un gage d’acceptabilité, d’efficacité, de performance économique et financière grâce à la compétence très précise de la co-conception, pour faire des villes où l’on n’est pas condamnés à être coincés en banlieue », insiste François Bottollier-Depois. 

Des villes où le projet politique peut se réaliser grâce à un urbanisme et une promotion immobilière qui mettent ses usagers (habitants, travailleurs, associations etc.) en capacité d’agir, d’influer sur leur cadre de vie, est-ce possible ? Une clef se trouve dans ce que François Bottollier-Depois nomme « co-conception » : une compétence très précise, qui aujourd’hui ne s’apprend pas en formation initiale, durant les études. 

La co-conception : compétence de demain

Elle s’acquiert, en revanche, durablement, par le développement de nouveaux mécanismes de travail, basés sur l’intelligence collective et l’ingénierie de projets participatifs. Elle est en passe de devenir une compétence-clé, valorisable dans tous les métiers de la filière urbaine et c’est justement à cela qu’ont travaillé ensemble la FTI et AMNA en 2020 : la formation de certains collaborateurs de l’agence à une pratique plus ouverte de leur métier. 

De quoi s’agit-il ? Le parcours de formation-action intitulé « L’intelligence collective appliquée à l’aménagement » permet de découvrir les bases théoriques de l’intelligence collective, de mieux comprendre ses propres méthodes de travail et la manière de les adapter aux besoins, de tester et d’apprendre à utiliser des outils gestion de projet et d’innovation basés sur la collaboration. L’objectif du développement de ces compétences ? Répondre aux défis de l’adaptation continue au marché et à la société. 

Toute une nouvelle génération formée 

Par la mobilisation des parties prenantes, la collaboration crée des liens, de la solidarité, de la cohérence, de la mobilisation, autant de facteurs dont l’utilité se renforce dans les temps d’adaptation et de transformation. Elle permet de gagner en efficacité en cernant plus vite et mieux les besoins des usagers, elle permet l’innovation à impact social et environnemental en ouvrant le champ des possibles. 

Les collaborateurs d’ANMA formés prennent de nouveaux réflexes, armés de leurs outils pour mieux innover à plusieurs. Premier résultat, l’agence a déjà nommé une chargée de projet référente interne pour diffuser les bonnes pratiques de l’intelligence collective et une méthodologie de projet plus ouverte. 

« En matière de compétences et formation – reprend Cyril Trétout – on partage avec la FTI le fait que ‘’faire avec les autres’’ est essentiel. On a besoin que la nouvelle génération soit formée au travail en intelligence collective, au travail collaboratif. Je sais bien les réticences qu’il y a : des craintes, des freins au changement… Moi, je suis absolument favorable à la formation. Et les ‘’anciens’’, dont je fais partie, ont aussi besoin de formation.  Sans ça, on ne peut pas faire face à l’inconnu de demain. Sans la formation on ne peut pas prendre de risque, le risque d’aller vers autre chose ».

Article publié sur C21 France
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