Des étudiants du groupe IONIS (Sup’Biotech, Ionis-STM, Epita…) planchent sur Quantifly, un projet d’analyse quantitative de la pollution atmosphérique par drone. Ils utilisent un système biologique à même de détecter des polluants, en modifiant le génome de bactéries pour les rendre bioluminescentes en présence de certains composés organiques volatils, comme le benzène et le toluène. Ces systèmes sont embarqués dans un drone piloté par ordinateur, afin de couvrir de larges zones et de cartographier la pollution en 3D. Le projet sera présenté en octobre à l’IGEM (International Genetically Engineered Machines), un concours international de biologie de synthèse organisé par le MIT.
Paru dans CDM Chantiers du Maroc n°147 – Février 2017