L’Ecole Nationale d’Architecture de Marrakech organise depuis 2015, des rencontres annuelles sous forme d’un programme intitulé « Al Mi’mâr », afin de créer l’opportunité de débattre autour des notions du développement durable, culturel et sociétal des territoires. Placée sous le thème : « Architecture et paysage : Vers une transition écologique et sociétale », et en partenariat avec la région de Marrakech-Safi, l’édition de cette année est organisée entre le 18 et le 20 mars, au Musée Mohamed VI de la Civilisation de l’Eau à Marrakech. Elle débutera ainsi, le cycle des activités pédagogiques et de diffusion de la culture de l’architecture et de l’aménagement durables mars-octobre.
L’objectif général de ce symposium est l’intégration des préoccupations environnementales et du développement durable dans la formation des architectes, des urbanistes et des paysagistes ainsi que la mise à niveau des contenus de ces enseignants.
En outre, le programme sera essentiellement réparti sur 3 panels qui touchent des sujets relatifs aux jardins et paysages naturels de la ville de Marrakech et de la région qui l’entoure, à savoir : « Habiter le paysage à l’échelle du quotidien », « les jardins dans la ville » et « enseigner la transition écologique dans les projets d’architecture de paysage ».
L’autre point fort de ce symposium est le renforcement de l’enseignement de la transition écologique et sociétale à l’Ecole Nationale d’Architecture de Marrakech et dans les autres institutions marocaines qui forment aux métiers de l’aménagement des territoires.
Retenons également que plusieurs organismes nationaux et internationaux appuient cette rencontre, principalement : le Ministère de l’Aménagement du Territoire National, de l’Urbanisme, de l’Habitat et de la Politique de la Ville, la Direction Régionale de la Culture le Ministère de l’Equipement, du Transport, de la Logistique et de l’Eau, Coopération internationale technique allemande – GIZ, l’Association des Architectes-Paysagistes du Maroc, Le Conseil International des Monuments et des Sites ICOMOS Maroc et l’UNESCO.
La rédaction